Àpartir de 27 € chez Hellotickets. Acheter des billets pour le Musée d'histoire naturelle de New York vous permet d'éviter les files d'attente au guichet et de profiter des expositions permanentes. Cependant, les contrôles de sécurité sont inévitables et peuvent retarder votre accès à la collection, ce que je vais décrire ci-dessous.
ozA7. Le Museum américain d’Histoire Naturelle de New York est un des plus grands du genre au monde. Situé au bord de Central Park, il possède des millions de spécimens de plantes, animaux, minéraux, squelettes de tous genres etc… C’est à la fin du XIXème siècle, sous la présidence de Théodore Roosevelt, qu’un tel musée fut décidé. Contrairement à son homologue parisien, où il faut passer à la caisse à chaque changement de galerie paléontologie, Grande Galerie, les serres, la minéralogie… ici le billet donne droit à tout ce que vous souhaitez et c’est vaste, puisqu’une des sections les plus spectaculaires vous conduira au planétarium high-tech Hayden pour un grand show la tête dans les étoiles… entrée du Museum, situé en face de Central Park avec une statue de Théodore Roosevelt Un des clous du musée est la visite des salles de paléontologie, avec de rares spécimens qui ont été récupérés lors de l’âge d’or du musée, entre 1880 et 1930. Dans le hall d’entrée du Museum, les visiteurs sont accueillis par un specimen de Barosaurus en position de protection. Ce dinosaure avait la même taille qu’un Diplodocus, avec néanmoins une queue plus longue mais un cou plus ramassé. Un beau Tyrannosaurus rex, issu de l’assemblage de deux specimens trouvés dans le Montana au début du XXème siècle. 1 - L’immense Brontosaurus Apatosaurus vivant au Jurassique, et qui pouvait mesurer jusqu’à 23 mètres ! 2 - Pterodactylus 3 - une des salles de paléontologie 6 - Edmontosaurus annectens, les curieux dinosaures à bec de canard » ! Le Rose Center for Earth and Space est un espace dédié à l’astronomie, organisé autour d’un somptueux planetarium de 27 mètres de diamètre, réalisé en 2000 en lieu et place de l’ancien datant des années 1930. La sphère blanche semble flotter au coeur d’un vaste cube en verre, et on appréciera l’architecture hardie de l’ensemble. Un escalier en pente permet de descendre le long de la sphère en remontant le temps depuis nos jours jusqu’au Big Bang. C’est vraiment bien fichu, et les films projetés sont d’une exceptionnelle qualité ils sont d’ailleurs exportés, à celui de la Cité des Sciences à Paris notamment. Vue extérieure du planétarium Hayden enchâssé dans son cube de verre ; il neigeait ce jour là sur Manhattan. 1 - base de la sphère de 27 mètres de diamètre 2 - sur la rampe du planétarium 3 - planétarium Hayden 4 - le système solaire la sphère du planétarium représente ainsi le Soleil L’immense Milstein Hall of Ocean Life présente la reconstitution grandeur nature d’une baleine bleue, plus gros mammifère de la Terre. 3 1 - une partie des collections de botanique 2 - Le musée présente également une partie dédiée à l’Homme, avec ici une magnifique pirogue de la tribu Haida, originaire de la côte nord-ouest Pacifique. 3 - partie minéralogie [full_width] Etats-Unis - New York, le Museum d'Histoire Naturelle Reviewed by RENOULT on 15 décembre Rating 5
Xinhua/Wang Ying NEW YORK, 22 juin Xinhua - Une statue de Theodore Roosevelt à cheval, qui trône devant le Musée américain d'Histoire naturelle de New York, va bientôt être retirée en raison de "la hiérarchie raciale qu'elle dépeint", a annoncé le musée. Cette statue en bronze du 26e président des Etats-Unis, érigée à l'entrée du musée en 1940, est en effet flanquée d'un Afro-américain et d'un Amérindien. C'est le musée qui a demandé le déménagement de la statue. La municipalité, qui est propriétaire à la fois de la statue et du musée, a approuvé cette demande dimanche soir. "Cette statue était destinée à célébrer Theodore Roosevelt 1858-1919 en tant que naturaliste passionné et auteur d'ouvrages sur l'histoire naturelle. Mais la statue elle-même exprime en même temps une certaine hiérarchie raciale que le musée et le public trouvaient depuis longtemps troublante", a déclaré le musée dans un communiqué. Le maire de New York, Bill de Blasio, a quant à lui indiqué dans un communiqué que la ville soutenait la demande du musée. "C'est la bonne décision, et c'est le bon moment pour retirer cette statue problématique", a-t-il déclaré. La décision du musée survient dans le cadre d'un vaste mouvement de protestation contre l'injustice raciale aux Etats-Unis. Après plusieurs semaines de manifestations contre la mort de George Floyd à Minneapolis, les manifestants se concentrent à présent sur les statues des personnages historiques liés à l'esclavage, comme Robert E. Lee ou Winston Churchill. La semaine dernière, une statue de Nathaniel Rochester, fondateur de la ville de Rochester dans l'Etat de New York, a été recouverte de messages anti-racistes. Nathaniel Rochester était une figure de la guerre révolutionnaire, mais aussi un propriétaire d'esclaves. Des membres du Conseil municipal de New York ont également exigé qu'une statue de Thomas Jefferson soit retirée de l'hôtel de ville. Thomas Jefferson, le troisième président des Etats-Unis, possédait en effet plus de 600 esclaves afro-américains, selon des documents historiques.
C’était le 24 décembre 2013 exactement. Et à défaut de passer la nuit au musée, nous y avons passé la matinée et le début d’après-midi. C’était notre 4ème jour à New York, et je me souviens encore qu’en sortant du musée, nous avions très faim et les restaurants autour étaient si remplis que nous avions pris le métro direction Grand Central pour manger un hamburger chez Junior’s. J’ai toujours aimé les dinosaures. Cela remonte à mon enfance, bien avant Jurassic Park. Ma mère m’avait acheté un livre, j’étais en CE2 ou CM1. C’était une histoire sur la fin des dinosaures, on suivait un tricératops qui essayait de survivre tandis qu’un tyranosaure le chassait. Le triceratops eut raison du rex en lui plantant ses cornes dans la poitrine, mais la forêt en feu, puis le monde autour de lui s’effondrant, on imagine fort bien que ce combat contre le tyranosaurus rex fut son dernier. J’avais été émerveillé par les illustrations et les détails foisonnant de chaque décor ou de chaque dinosaure rencontré. Bien sûr, le tricératops s’est alors imposé comme mon dinosaure préféré, il était capable de tenir tête au redoutable t-rex, c’était formidable! J’ai lu ce livre des dizaines de fois, et je regrette aujourd’hui de l’avoir égaré lors d’un de nos inombrables déménagements. C’est marrant, à chaque fois que je pense dinosaure, je pense à ce livre. En faisant une petite recherche sur Google, j’ai retrouvé le livre sur Amazon – Le dernier Dinosaure, je n’ai plus qu’à le commander! Le tricératops n’est pas resté mon dinosaure préféré. Il a été évincé par le stégosaure. A vrai dire, je n’ai pas d’explication raisonnable à un tel choix, c’est comme ça… J’ai un squelette de stégosaure chez moi, une maquette en bois que l’on monte soi-même. Je le regarde et je repense à ma rencontre avec le stégosaure au musée d’histoire naturelle de New York. Je dois avouer que tout cela me fascine! Imaginer l’évolution de la vie sur Terre est d’une complexité incroyable, parce qu’il est humainement impossible de penser le temps sur des millions d’années. C’est vrai, comment penser quelque chose qu’on ne peut imaginer? C’est marrant, quand j’ai dû faire des choix de vies tels que les études, il ne m’est jamais venu à l’esprit de faire de la paléontologie ou de l’anthropologie, alors que ce sont deux disciplines qui m’attirent énormément. J’ai choisi Histoire, et j’ai pu découvrir de nombreuses choses et ainsi étancher ma soif de connaissances. Mais je suis bien entendu passé à côté de l’avant-histoire, de l’avant l’humanité moderne, celle de l’écriture. J’ai lu des livres bien entendu, j’ai lu Coppens par exemple. J’aime bien Coppens parce que c’est à portée de moi. C’est clair et pédagogique. J’ai lu des magazines, et puis j’ai vu Jurassic Park plus que de raison. Et aussi King Kong. Beaucoup de films avec des dinosaures, et pas toujours des bons… Je le confesse, j’ai toujours adoré regarder ces vieux films où les monstres sont animés en pâte à modeler. Je me souviens d’ailleurs d’un film, L’île mystérieuse une adaptation très libre du livre éponyme de Jules Verne, que j’avais adoré, surtout à cause ou grâce… aux effets spéciaux de Ray Harryhaussen, où un poulet géant ainsi qu’un crabe immense attaquaient des naufragés perdus sur une île. J’hésite toujours à revoir ces films, j’ai souvent peur d’être déçu, même si je revois toujours avec plaisir Le Choc des Titans la version de 1981 bien entendu. Bref, voilà un an que j’ai vu New York, et je repense aux formidables collections de ce célèbre museum d’histoire naturelle, à ses dinosaures, ses nombreux animaux étranges, et je suis comme un enfant qui découvre chaque nouvelle pièce avec bonheur et délectation! Nous n’avions hélas pas pu tout voir, pressés de découvrir New York encore et encore, mais ce n’est que partie remise, j’en suis certain! Inscrivez-vous à ma newsletter Tous les mois, une newsletter avec plein de conseils culturels. By checking this box, you confirm that you have read and are agreeing to our terms of use regarding the storage of the data submitted through this form.