Iln’aurait pas fait payer, il aurait peut-être pu s’en sortir avec une tape sur les doigts, mais vu qu’il faisait un bénéfice sur l’opération, ça ne pouvait pas passer. Sérieux, il
Translationsin context of "ne peux pas payer" in French-English from Reverso Context: Je ne peux pas payer vos études.
jai ete chez le coiffeur il y a a peu pres 2 mois de ca. j ai voulu m offrir un petit plaisir mais je n aurais jamais du. Au moment de payer, ma carte a ete refusee. donc j ai dit a la coiffeuse que je la paierais dans 1 mois. mais je ne peux toujours pas la payer. Que va t il se passer ? je lui doit
Jene vois pas sur quelle base vous pourriez avoir à payer son devis. Je suis au courant que je n'ai pas d'accès et que je n'ai rien touché. Ca ne change rien au fait que je suis condamné à supporter la charge des entiers dépens. Donc tout ce que ce procès aura pu lui coûter, je suis susceptible de le payer. Rien à voir pour moi. Ce n
Dommageset interets, je ne peux pas payer : j ai ete condanne a 6 mois de prison avec surcis,de plus je dois payer 3000 euros de dommages et interets a la partie adverse,je n. Créer un compte. Mot de passe oublié . Travail. Licenciement. Prud'hommes. Congés & vacances. Contrat de travail. Embauche & démission. Maternité. CDD - CDI - CNE. Salaires. Formations.
Eten tout cas je ne peux pas arrêter maintenant mon investissement d'où la nécessité pour moi de trouver un régime adapté à ma situation avant la banqueroute lol #6 hardu ,
jugéet condamné mais il ne paie pas. Je me permets de poster ici pour avoir quelques renseignements avant de lancer une quelconque procédure car je n'y connais vraiment rien en droit! petit topo: en 2007 mon conjoint vend son jet-ski (7 300 euros), un certain J**** achète l'engin. Erreur de mon conjoint il ne demande pas un chèque de
Selonles informations de 20 Minutes, le tribunal a condamné le juré de Top Chef à verser 20 000 euros à son voisin, mais elle a aussi rejeté sa demande pour "recours abusif".
EntreDeux-noirs La justice a condamné le Pays des Rives de Garonne à payer 32 000 euros à Christophe Dupuis, l'ancien libraire du centre-ville Le
Samuela été condamné à 22 mois de prison pour fraude fiscale par la justice espagnole. Une peine qu'il n'effectuera pas grâce à son
XTvHT. Police et justice La cour d’appel de Versailles, vendredi, a ramené de 4,9 milliards à 1 million d’euros les dommages et intérêts dus par Jérôme Kerviel à la Société générale. Ça n’a l’air de rien, mais après huit ans de procédure, deux procès correctionnels, deux condamnations pénales, une cassation sur les intérêts civils, et un troisième procès uniquement civil, c’est la première fois dans l’affaire Kerviel que la justice rend une décision compréhensible. Jérôme Kerviel a été condamné en appel, vendredi 23 septembre, à verser 1 million d’euros de dommages et intérêts à la Société générale. L’ancien trader a été reconnu partiellement responsable », par la cour d’appel de Versailles, du préjudice causé à la banque par ses manœuvres boursières frauduleuses. Le trader avait déjà été condamné au pénal en 2010 à cinq ans de prison, dont deux avec sursis, pour des manœuvres boursières frauduleuses ayant causé, en 2008, 4,9 milliards de pertes à son ex-employeur. La Cour de cassation a confirmé en 2014 cette condamnation pour abus de confiance, faux et fraude. Mais elle a cassé le volet civil qui obligeait initialement M. Kerviel à rembourser ces pertes vertigineuses. Pour tout comprendre L’affaire Kerviel en 3 questions En trente pages, l’arrêt rendu de la cour d’appel de Versailles replace chacun dans ses responsabilités à Jérôme Kerviel, l’entière faute pénale telle que l’ont établie le tribunal correctionnel et la cour d’appel de Paris ; à la Société générale, la plus grosse part de la responsabilité civile, puisque les défaillances de ses contrôles ont concouru à la gravité du préjudice qu’elle a subi. Chaque paragraphe est rédigé de manière à ne laisser prise à aucune ambiguïté d’interprétation, par l’une ou l’autre des parties qui s’opposent dans cette guerre judiciaire et surtout médiatique sans merci. Des failles » que Jérôme Kerviel a exploitées » A propos des manquements » de la banque, la cour relève qu’ils ne témoignent pas de négligences ponctuelles, mais de choix managériaux qui ont ouvert à un salarié mal intentionné comme Jérôme Kerviel un large champ d’action où il a pu développer ses agissements délictueux ». Formé au sein des structures de la banque, Jérôme Kerviel en avait repéré les failles, qu’il a ensuite exploitées pour concevoir et couvrir ses activités frauduleuses. C’est son parcours personnel au sein de la Société générale, notamment au “middle office”, qui lui a donné une connaissance très fine des systèmes, qu’il a ensuite utilisés pour développer et dissimuler ses agissements. » Des systèmes de contrôle lacunaires » Mais, souligne la cour, quelles que soient la ruse et la détermination de l’auteur des faits, ou la sophistication des procédés employés, un tel préjudice n’aurait pas pu être atteint sans le caractère éminemment lacunaire des systèmes de contrôle de la Société générale, qui ont généré un degré de vulnérabilité élevé. » Cette organisation défaillante et cette accumulation de manquements, poursuit l’arrêt de la cour, ont permis la commission des délits et retardé leur détection. » Ils ont également eu un rôle causal essentiel dans la survenance et le développement du préjudice jusqu’à un seuil critique. C’est ainsi qu’a pu se créer une situation en tout point exceptionnelle, à la fois par l’ampleur du dommage et par les risques qu’elle a fait peser sur l’ensemble de l’économie. » Dès lors, conclut l’arrêt, si les fautes pénales commises par Jérôme Kerviel ont directement concouru à la production du dommage subi par la Société générale, les fautes multiples commises par la banque ont eu un rôle majeur et déterminant dans le processus causal du très important préjudice qui en a découlé pour elle. » Une somme à échelle humaine Le combat continue », et la décision de la cour d’appel me donne l’énergie pour continuer [ce] combat », a aussitôt réagi l’ex-trader, assailli par les journalistes. La cour a dégraissé de 99,98 % la somme » due par Jérôme Kerviel, a salué son avocat, David Koubbi. Un des avocats de la Société générale, Jean Veil, a de son côté salué une décision tout à fait satisfaisante ». En condamnant Jérôme Kerviel à ne payer qu’un million d’euros sur les 4,9 milliards de préjudice, la cour souligne ainsi que la banque doit assumer aux yeux de la société le prix de sa propre faute. Mais en demandant à l’ex-trader de payer une somme à échelle humaine » – donc susceptible d’être réclamée, contrairement aux 4,9 milliards d’euros – , elle le ramène au simple statut de condamné pour abus de confiance. Un ex-trader, rien qu’un ex-trader ayant abusé de la confiance de ceux qui l’employaient, et non pas un martyr du système bancaire. Pascale Robert-Diard Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
En 2016, puis en 2017, Carinne Teyssandier a été condmanée à une lourde amende. L'animatrice et chroniqueuse avait été poursuivie par son ancienne Teyssandier a eu beau se défendre, la justice avait rendu son verdict. En février 2017, l'animatrice a été condamnée à verser euros à son ancienne gouvernante. Quelques mois auparavant, dans le cadre du plaider-coupable, la chroniqueuse de Télématin et son mari avaient été condamnés à six mois de prison avec sursis et une amende de euros pour avoir employé, chez eux, un étranger en situation irrégulière. Accusée d'ailleurs d'avoir dissimulé son emploi entre janvier et août 2015, Carinne Teyssandier avait plaidé coupable. La plaignante, Joanne Dimba, avait fait part de son intention de saisir les prud'hommes dans le but d'obtenir "des indemnisations financières d'environ euros"."Je ne suis pas une esclavagiste", s'était-elle défendue dans les colonnes du Parisien avant d'ajouter que la situation financière de son couple était très compliquée et qu'ils devront payer leur amende avec le "plan épargne" de leur fille. "Mon mari est pompier volontaire, il ne gagne que euros par mois. Mais tant pis, je vais payer ma faute. J'espère surtout en terminer au plus vite et de ne plus faire les gros titres avec cette affaire. Je n'avais pas mesuré à quel point la machine médiatique peut s'emballer. Pour moi, c'est la double peine", confiait Carinne Teyssandier. Les conseillers des Prud'hommes avaient estimé que la gouvernante exerçait comme employée de maison et que son salaire prévu de euros était fictif puisqu'elle ne touchait que la moitié de celui-ci pour s'occuper des enfants du Teyssandier "J'ai reçu beaucoup de soutiens""Je reconnais ma faute, même si j'ai fait toutes les démarches pour cette personne. Je suis condamnée pour avoir aidé quelqu'un. Le prix à payer est un peu lourd. Mais c'est comme ça. Et surtout, le tribunal a reconnu qu'il n'y avait pas eu d'exploitation, ni de travail dissimulé", ajoutait alors Carinne Teyssandier. Après sa première condamnation, l'animatrice s'inquiétait pour les éventuelles répercussions professionnelles. "Je ne suis pas la première à avoir des soucis avec la justice, mais je ne sais pas. Ca va sûrement dépendre des retombées médiatiques. Pour l'instant, j'ai reçu beaucoup de soutiens, notamment celui de William Leymergie. Il a été exemplaire. Je suis tombée dans ses bras comme si c'était ceux de mon père, décrivait-elle au Parisien. Quand on a des problèmes, il est toujours là . En 30 ans de métier, lui aussi a été dans la tourmente. Il sait ce que c'est."© France 2 2/12 - Carinne Teyssandier En février 2017, l'animatrice a été condamnée à verser euros à son ancienne gouvernante © France 3 3/12 - Carinne Teyssandier Quelques mois auparavant, dans le cadre du plaider-coupable, la chroniqueuse de Télématin et son mari avaient été condamnés à six mois de prison avec sursis et une amende de euros pour avoir employé, chez eux, un étranger en situation irrégulière © France 3 4/12 - Carinne Teyssandier Accusée d'ailleurs d'avoir dissimulé son emploi entre janvier et août 2015, Carinne Teyssandier avait plaidé coupable © France 2 5/12 - Carinne Teyssandier La plaignante, Joanne Dimba, avait fait part de son intention de saisir les prud'hommes dans le but d'obtenir "des indemnisations financières d'environ euros" © Instagram 6/12 - Carinne Teyssandier "Je ne suis pas une esclavagiste", s'était-elle défendue dans les colonnes du Parisien avant d'ajouter que la situation financière de son couple était très compliquée et qu'ils devront payer leur amende avec le "plan épargne" de leur fille © Instagram 7/12 - Carinne Teyssandier "Mon mari est pompier volontaire, il ne gagne que 1 000 € par mois. Mais tant pis, je vais payer ma faute" © Instagram 8/12 - Carinne Teyssandier "J'espère surtout en terminer au plus vite et de ne plus faire les gros titres avec cette affaire. Je n'avais pas mesuré à quel point la machine médiatique peut s'emballer. Pour moi, c'est la double peine" © Instagram 9/12 - Carinne Teyssandier Les conseillers des Prud'hommes avaient estimé que la gouvernante exerçait comme employée de maison et que son salaire prévu de euros était fictif puisqu'elle ne touchait que la moitié de celui-ci pour s'occuper des enfants du couple © Instagram 10/12 - Carinne Teyssandier "Je reconnais ma faute, même si j'ai fait toutes les démarches pour cette personne. Je suis condamnée pour avoir aidé quelqu'un. Le prix à payer est un peu lourd. Mais c'est comme ça" © COADIC GUIREC 11/12 - Carinne Teyssandier Après sa première condamnation, l'animatrice s'inquiétait pour les éventuelles répercussions professionnelles © COADIC GUIREC 12/12 - Carinne Teyssandier "Je ne suis pas la première à avoir des soucis avec la justice, mais je ne sais pas. Ca va sûrement dépendre des retombées médiatiques"
TF1 se pourvoit en cassation après une décision de la Commission paritaire arbitrale la condamnant à payer des indemnités à la journaliste Florence Schaal. L'affaire remonte à l'été 2008. Dans la Drôme, Florence Schaal couvre la disparition d'un enfant. À l'antenne du 20heures du 8 août, elle annonce la mort, à tort, du petit Louis. » Regardez la vidéo en question en fin d'article La chaîne avait alors licenciée "pour faute grave" la journaliste qu'elle employait depuis 33 ans. La Commission paritaire, propre aux journalistes et présidée par le président de la Cour de cassation, a reconnu en 2009 que Florence Schaal avait commis une faute professionnelle "mais pas de faute grave justifiant un licenciement pour faute grave". La Société des Journalistes SDJ avait alors estimé que cette sanction, "qui réduisait toute une carrière de plus de 30 ans à 35 secondes d'antenne" était "disproportionnée". Cette décision contraint TF1 à payer une indemnité de licenciement dont le montant n'est pas dévoilé. "Je veux tourner la page, je n'en peux plus, je suis proche de craquer. Je n'ai pas l'aisance financière pour tenir une nouvelle procédure", a déclaré la journaliste. Grièvement blessée, elle est hospitalisée depuis deux semaines. Florence Schaal a été renversée par une voiture le 24 mai, alors qu'elle se rendait à TF1 pour remettre une lettre à Nonce Paolini, lui demandant de retirer la procédure. "Ce n'était pas une supplique. Nonce Paolini et moi avons toujours entretenu de bonnes relations. Je n'ai jamais compris pourquoi il s'acharnait contre moi. Il n'a jamais répondu à ma lettre et ne m'a pas appelée", a-t-elle ajouté. Une pétition a été lancée mardi par la réalisatrice de documentaires Elisabeth Lenchener et le producteur Alain Mamou Mani, amis de la journaliste. Mercredi matin, près de 400 signatures avait été recueillies.